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Il vient d’entrer au palmarès GQ des « avocats qui font bouger les lignes ». Son fait d’armes : avoir fait condamner la BNP pour des prêts « toxiques » et obtenu l’indemnisation de 1300 clients. L’avocat mise sur la recherche et la ténacité pour rétablir l’égalité.
L’affaire a duré dix ans. Et pourrait se prolonger. En février 2020, la BNP a été condamnée par le tribunal correctionnel de Paris pour « pratiques commerciales trompeuses » concernant ses prêts Helvet Immo, souscrits en francs suisses et remboursables en euros.
Article de Anaïs Coignac. Charles Constantin-Vallet, un combat de fond. La semaine du droit, édition générale, n°42, 18 octobre 2021, p. 1885.
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